La Fraternité des Étoiles vous souhaite de belles fêtes

Chers enfants de la Terre, chers enfants divins,

En ce temps de fêtes, nous voulons vous souhaiter des belles et joyeuses fêtes. Profitez de ces moments avec vos biens aimés. Soyez dans l’amour et le partage.

Profitez de la joie qui s’installe dans vos cœurs car chaque fois que vous êtes joyeux, vous augmentez votre taux vibratoire. En augmentant le votre, vous augmentez celui de votre mère Terre, mais surtout vous aidez les plus malheureux à connaitre la joie, même si celle-ci est minime.

Accueillez donc la joie dans vos cœurs et dispersez cette joie dans votre corps entier. C’est ainsi que chacune de vos cellules puissent vibrer. La puissance de ce sentiment, qu’est la joie est incomparable aux autres sentiments. Alors apprenez à faire tout ce que vous faites avec la joie dans vos cœurs.

Soyez Unis dans vos actions joyeuses et festives.

Soyez Bénis

Soyez Joie

Nous sommes la Fraternité des Étoiles et nous venons à vous afin d’ouvrir vos consciences.

Mes meilleurs voeux !!!

Tout d’abord, laissez-moi vous remercier pour votre présence, vos partages, vos commentaires et surtout votre amour.

Beaucoup de personnes se plaignent de l’année 2013 disant qu’elle n’a été que souffrances et malheurs. Mais sachez que même si vous, oui vous qui lisez ce message, vous voyez cette année comme telle, elle tire à sa fin. Essayez de voir cette année là plutôt comme un élan qui va vous propulser vers le haut. Quand? Comment? Je ne sais pas. Je sais seulement que le pouvoir est en vos propres mains. Il est en vous. Ce pouvoir s’appelle le pouvoir créateur. Alors servez-vous de ce pouvoir créateur car il vous est donné. Servez-vous en afin de passer aux étapes suivantes de votre évolution. Servez-vous afin de créer le moment présent à votre image, celle que vous voudriez voir. Servez-vous afin de vivre votre vie comme le maître de votre propre vie que vous êtes.

On dit souvent qu’il faut voir le positif dans tout ce qui est négatif. Alors, si vous avez vécu ou vivez toujours des situations négatives, difficiles et éprouvantes cette année, essayez de la voir positive. Ne vous demandez pas ce qui peut bien être positif dans une trahison, une tromperie, une situation de manque d’argent, une perte de quelqu’un ou de quelque chose, une maladie ou toute autre situation déplaisante. Demandez-vous plutôt ce que vous avez en votre possession pour sortir de ces situations, si vous la vivez toujours. Demandez-vous aussi ce que vous avez gagné suite à une situation négative, si elle est déjà passée. Cela peut-être de la connaissance, la sagesse, la prise de conscience de quelque chose ou une libération.

Pour celles et ceux qui ont vécu cette année comme une des plus merveilleuses, eh bien là aussi, le pouvoir créateur est entre vos mains afin de continuer à créer votre merveilleux. Continuez votre cheminement dans la plus grande de simplicité, car c’est là que se trouve le merveilleux.

L’an 2014 devrait être encore une fois, une année révélatrice et libératrice pour la plupart d’entre vous. Soyez donc dans l’acceptation de tout ce que vous vivrez car on ne sait jamais, cela peut être un sacré élan.

Je vous souhaite à tous un très joyeux Noël et une bonne année qui commence. Puisse cette année vous être meilleure. Puissiez-vous connaitre la douceur et la joie dans chacune de vos entreprises et dans chacun de vos pas. Puissiez-vous faire des belles rencontres et voir la lumière même dans l’ombre.

Je vous aime

Olésia

L’éducation parentale, le libre arbitre et l’auto punition

Bonjour maman,

-Bonjour mon bébé. Alors dis-moi tout. De quoi vas-tu me parler aujourd’hui?

Je veux te parler de l’éducation sur Terre. C’est un domaine à changer de façon prioritaire dans vos sociétés car de là découlent tous les autres domaines, que ce soit le domaine de la santé, le domaine de la politique et tous les domaines qui forment une société.

-Mais tu veux parler de l’éducation scolaire et parascolaire ou de l’éducation parentale?

Des deux, maman. Nous allons bien sûr commencer à parler de l’éducation parentale puisque c’est là que commence la croissance d’un enfant, au sein de sa famille terrestre. La famille que chacun d’entre nous choisi est notre pilier, c’est la notre base. C’est sur cette base que nous comptons d’évoluer. Le mot clé d’une éducation devrait être liberté. Sachant que chaque être a droit à son libre arbitre, ce libre arbitre devrait être la première valeur inculquée chez les terriens. Cette valeur vous est dérobée dès que vous naissez. Tu vois maman, lorsque nous parlons de libre arbitre, il est important de comprendre ce que réellement le libre arbitre veut dire. Je ne parle pas de cette liberté dont la plupart des parents ont peur. La plupart des parents sont d’avis qu’il faut un contrôle et une discipline à un enfant. Ce qui n’est pas faux. Certes, les enfants qui viennent d’un autre monde que le votre n’est pas au courant de bien des aspects humains, alors là oui, la discipline est nécessaire. Si de là où je viens, il est tout à fait normal et naturel de se promener sans se vêtir, cela n’est pas le cas sur votre planète. Alors là bien sûr, nous devons nous adapter à votre façon d’être.

La discipline est un vaste sujet. Qu’est-ce qui est bien et qu’est qui ne l’est pas ne défini pas votre mode disciplinaire. La discipline ne devrait pas être exprimée par des interdictions ou au contraire, des autorisations. Elle ne devrait pas non plus être exprimée par des punitions car dans ce cas comment voulez-vous comprendre et apprendre sur la vie. La discipline devrait se limiter dans les explications des conséquences.

-Tu ne veux donc pas être puni si tu fais des bêtises?

Des bêtises aux yeux de qui? Au nom de quoi? Comment peut-on expérimenter si on ne fait pas de « bêtises ». Les bêtises n’existent pas. Il existe des expériences et des erreurs. Des expériences nous permettent d’apprendre ce qui est bien et ce qui ne l’est pas. Quant aux erreurs ce sont des résultats obtenus suite à des expériences incomprises. Ce sont donc des résultats négatifs. Lorsqu’on expérimente, il y a deux résultats : le bon et le mauvais. Lorsque tu expérimentes une nouvelle recette, soit tu la réussis, soit tu la loupe. Mais si tu la loupes, il y a une raison. C’est que tu n’as pas bien comprit ta recette, tu n’as pas fait tout ce qu’il fallait et comme il était expliqué dans la procédure. Si la recette existe, c’est que le résultat positif existe. Il faut tout simplement la suivre à la lettre.

Je disais donc que la punition ne permet pas à un enfant de comprendre son expérience. Si tu regardes ta propre enfance, lorsque tu faisais une bêtise, tu étais punie. Pourtant tu l’as recommençais à nouveau et à chaque fois tu étais punie de la même façon.

-Oui j’avais la tête dure.

Non maman. Qu’est-ce que cela veut dire avoir la tête dure? Cela veut dire donc que tu aurais du te résigner. Si tu te saurais résignée, aurai-tu tu mieux comprit ton expérience? On te punissait et le lendemain tu recommençais à faire la même expérience. Pourquoi? Parce que tu ne l’as pas comprit. Il est pourtant si facile d’expliquer les conséquences aux enfants. Il ne faut pas sous-estimer la capacité d’un enfant à comprendre. Il comprend mieux que vous ne l’imaginiez.

-Mais si je t’explique la conséquence d’une certaine expérience, cela sera la conséquence que j’aurai expérimenté par moi-même. Cela sera donc mon expérience et non pas la tienne. Alors comment tu veux apprendre à expérimenter, dans ce cas aussi?

Certes tu vas me transmettre ce que tu sais par tes propres expériences. Certes cela ne me permettra pas de comprendre la leçon. Il faudrait certainement que j’expérimente moi-même afin de comprendre et d’apprendre et c’est là que le libre arbitre entre en cause. Après explication de conséquences, il faut laisser le libre arbitre aux enfants de choisir et de décider s’ils veulent tout de même connaitre le résultat de cette expérience. En leur interdisant, en les punissant ils feront comme tu as fait maman, ils recommenceront parce que n’auraient pas comprit et n’aurait pas apprit de leur propre expérience. Je veux connaitre le résultat de ton expérience, et celui de papa bien sûr, et je veux avoir la liberté de choisir si je dois ou non procéder à telle ou telle expérience.

-D’accord. Et même si tu risques de te faire mal?

Oui, même si je risque de me faire très mal. Cela ne fera pas de toi une mauvaise mère. Au contraire, je ne pourrai t’en vouloir puisque je l’aurai fait de façon libre. Tu vois, lorsque tu recommençais ton expérience incomprise pour laquelle tu étais punie, en la recommençant tu savais pourtant que tu seras punie.

-Oui

Donc, si on regarde cela d’un autre œil, tu te punissais toi-même.

-Oui

Mais ta volonté d’apprendre et de comprendre était à tel point de force supérieure à celle de ta peur de la punition, que tu ne te souciais pas de la punition. Or, tu as créée en toi un automatisme qui s’appelle l’auto punition, sans parler que l’objectif de la bêtise en question était de comprendre l’expérience et que tu n’arrivais pas à comprendre à cause de cet automatisme. Malgré le fait que tu as réussi à t’en sortir sans conséquences graves, cet automatisme t’a tout de même apporté des conséquences dans la vie.

Chez certains enfants, ces conséquences sont plus graves que chez d’autres car ils s’infligent des punitions à eux-mêmes bien plus graves. Certains consomment de la drogue, d’autres se mutilent, mais ne nommons pas toutes les punitions qu’un être peut se faire. Et tout cela pour la raison suivante : l’auto punition a dépassé la volonté d’expérimenter et d’apprendre. Mais si tu auras expérimenté la liberté d’être, de faire et d’agir, sans être punie, ce que tu voulais tant comprendre en expérimentant, tu l’aura comprit bien plus vite sans cet automatisme.

-Mais les personnes qui se droguent, ils expérimentent aussi, non?

Peux-tu me dire qu’est-ce qu’ils expérimentent de nouveau sauf bien sûr l’auto punition constante qui se renouvelle à chaque jour. Tu as vu dernièrement ce que la drogue peut faire d’un corps humain, sans parler de l’esprit humain. À moins de trouver la force nécessaire pour s’en sortir, leur vie est vouée à l’auto punition. Et pourquoi tu crois? Loin de moi le désir de culpabiliser les parents qui liront ceci. Ce qui est fait est fait, et ne peut être oublié ou effacé. Mais tout vient de l’enfance : la joie, l’amour propre, l’estime de soi, la confiance en soi ou au contraire, l’auto punition, le suicide, l’auto destruction, l’auto sabotage.
Un adulte qui s’auto punit est un enfant qui a développé en soi l’auto punition. C’est pourquoi je vous informe des conséquences des punitions. Au lieu de punir votre enfant, laissez le comprendre de ses propres erreurs. Ainsi il en fera moins lorsque sera grand. C’est une promesse que je vous livre aujourd’hui, moi l’âme Liora.

-Je n’avais pas l’intention de te punir.

Je sais. Voilà pourquoi vous ai-je déjà dit à toi et à papa, que mon choix s’est arrêté sur vous deux, en tant que parents. Vous avez grandi et êtes libérés de cet automatisme qu’est l’auto punition. J’ai confiance en mon propre choix.

-Oh quelle auto assurance!!!

Oui Saanty. Merci à vous deux d’avoir fait ce qu’il fallait pour chacun d’entre vous, pour l’un et l’autre et pour moi.

Je suis l’âme Liorah et vous salue dans mon amour.

La magie de Noël

Bonjour à vous mes chers lecteurs,

Aujourd’hui je voudrai vous parler de la magie de Noël car j’ai remarqué qu’à l’approche des fêtes de fin d’année, cette magie s’installe comme par magie.

En faite, dès que le mois de décembre commence, on sent quelque chose de différent dans l’air. Ce n’est ni le froid, ni le fait que les préparatifs pour les fêtes commencent. C’est quelque chose de plus que cela. Mis à part les décorations qui sont finis d’être installées par tout, les chansons de Noël, les publicités et même le fait qu’on dépense plus en sucreries et gâteries, il y a ce quelque chose de différent des autres mois de l’année. Et ce quelque chose disparait avec l’arrivée de mois de janvier.

Voyez-vous de quoi je parle? Non??? Je parle de cette magie qui s’installe tout à coup dans les cœurs des gens. Cette gentillesse spontanée, ce partage volontaire, cet entrain d’aider son prochain. Beaucoup de personnes donnent des choses ou de l’argent aux pauvres et aux sans abris durant cette période. Et ceux qui ne peuvent se le permettent, offrent leur aide de façon différente ou deviennent tout simplement plus souriants. Tout à coup chacun devient le plus généreux de la terre. Et pourquoi à votre avis? Pourquoi cette générosité commence avec l’arrivée du mois de décembre? Est-ce parce que c’est Noël et que cette fête à réellement quelque chose de magique, quelque chose qui oblige les gens à penser aux autres? Est-ce les chants de Noël, avec leurs paroles remplis de compassion et d’amour qui font que tout à coup les cœurs deviennent plus tendres?

Non ce n’est rien de tout cela. Ce qui crée toute cette magie, c’est la joie. La joie des fêtes de fin d’années nous fait oublier nos propres malheurs et nous rends sensibles aux malheurs des autres. En cette période de l’année nos yeux s’ouvrent sur ce que nous avons et sur ce que les autres n’ont pas. Cela se passe dans notre inconscient. Faisant le bilan de l’année, nous nous rendons compte finalement que notre année s’est bien passée. En s’estimant chanceux et privilégiés, la joie s’installe, en plus de bien sûr, les festivités qui contribuent à la joie.

Cependant, dès la fin des fêtes, tout redevient comme avant. C’est le retour à la réalité. Ne pouvons-nous donc pas vivre la joie à la longueur de l’année? Ne pouvons-nous donc pas aider son prochain plus souvent? Ne pouvons-nous donc pas distribuer cette lumière qui émane de nos sourires des temps de fêtes, même en juillet?

Je généralise bien sûr, néanmoins c’est bien la réalité. Vivons donc la joie à tous les jours de l’année. Distribuons les sourires gratuits rien que pour le plaisir de le faire. Donnons, partageons et aimons car si nous sommes heureux c’est bien lorsqu’on rend les autres heureux. Ne l’avez-vous pas remarqué?

Vivons donc la magie de Noël à tous les jours de l’année.

Avec tout mon amour

Olésia